Josephine Lizet, portrait : Expérimenter - Prép'art
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Josephine Lizet, portrait : Expérimenter

Josephine Lizet, étudiante passée par Prép’art Paris, a pu tester différentes pratiques et découvrir des matériaux durant son année 2020-2021. 

Quelle est ta formation avant d’arriver à Prép’art ?

J’ai fait un bac S.

Comment as-tu décidé de suivre les enseignements à Prép’art ?

J’ai choisi d’aller à Prép’art car j’avais fait un stage d’orientation (SODA) d’une semaine à la Toussaint et cela m’avait bien plu.

Avant d’entrer à Prép’art avais-tu déjà une idée de ce que tu voulais faire ?

Non je ne savais pas du tout.

Que t’a apporté ton passage à Prép’art ?

De pouvoir expérimenter un maximum, de tester plein de choses, de découvrir des matériaux, avoir de grands espaces pour travailler.  

Sur quoi porte ton dossier ?

Je travaille beaucoup avec des installations, des tissages en plâtre et des grands volumes. J’essaye de réfléchir sur la culture du passé : quelles sont les conséquences aujourd’hui ? Pour amener en quelque sorte une culture différente.

Comment décrirais-tu l’ambiance à Prép’art ? 

C’est très sympa, on connaît un peu tout le monde, même tous les profs. C’est ouvert.

Comment qualifierais-tu le rapport avec les enseignants de l’école ?

C’est assez proche, on est bien suivi. Si on a besoin d’aide, on l’obtient très facilement. On peut dialoguer avec beaucoup de professeurs même avec ceux qui ne sont pas nos enseignants habituels. C’est vraiment bien, on a un vrai suivi individuel.

As-tu un souvenir marquant de ton année à Prép’art ?

Les cours de matériaux nouveaux avec Nour (Awada) et Julie (Genelin), la découverte du plâtre etc… après je n’ai fait que ça toute l’année. C’était un point de départ. 

Quels seraient tes conseils pour les futurs étudiants qui souhaitent intégrer Prép’art ?

D’essayer et d’expérimenter au maximum, de ne pas se mettre des barrières, de ne pas s’arrêter même s’il y a des projets qui ne marchent pas, de recommencer, d’en produire d’autres, parce que c’est une continuité, une dynamique.

Comment as-tu vécu la période de l’année pendant laquelle les restrictions sanitaires ont été appliquées ?

Ça a été parce que j’ai travaillé avec des ami.e.s. On était tout le temps ensemble, il y avait un élan de groupe et vu qu’on avait cours en présentiel, le contexte sanitaire ne m’a pas trop dérangé.

Quelles écoles as-tu passées et quelle école as-tu choisie ? 

L’Ensad, l’ENSBA, les Beaux-Arts de Nantes, l’Esam de Caen, l’Esaab de Rennes et de Quimper, la Hear de Strasbourg et les Beaux-Arts de Lyon. J’hésite encore entre l’Ensad et l’Ensba : je suis en réflexion.

Quels sont tes futurs désirs et projets ?

Que cette dynamique continue, pouvoir encore développer plein de choses et que tout se passe bien dans l’école où je vais aller.

Un dernier mot ?

Merci pour tout à l’équipe de Prép’art.