Annaka Stretta, portrait : L'année d'initiation - Prép'art
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Annaka Stretta, portrait : L’année d’initiation

Etudiante en Prépa cinéma durant l’année 2019-2020, Annaka Stretta qui a été admise à l’Ecole Supérieure d’Art du Septantecinq en Belgique, nous parle de son vécu à Prép’art. 

Quelle est ta formation avant d’arriver à Prép’art ?

J’ai passé mon bac puis je suis partie faire des études de sociologie à Londres et j’ai travaillé en tant que vendeuse. 

Comment as-tu décidé de suivre les enseignements à Prép’art ?

Je connaissais une ancienne étudiante qui était ravie de son année et je suis venue la visiter lors des portes ouvertes

Avant d’entrer à Prép’art avais-tu déjà une idée de ce que tu voulais faire ?

Non pas du tout j’étais assez ouverte sur différents domaines, l’idée était aussi de me trouver, j’hésitais beaucoup. C’est pourquoi j’avais besoin de cette année d’initiation et de recherches. 

Que t’as apporté ton passage à Prép’art ?

Déjà de préciser mes choix ! Ainsi ça m’a permis de prendre confiance en moi et de me dire que je pouvais faire certaines choses dont je ne me pensais pas capable. Les enseignants nous suivent très personnellement et sont très encourageants. 

Sur quoi porte ton dossier ?

C’est souvent très en lien avec mon quotidien, ma génération, le fait d’être une femme parisienne, mes amis, nos relations. 

Quelle a été ta méthode de travail ? 

Les idées venaient un peu au hasard et en fonction des projets, et j’allais voir les enseignants pour avoir des conseils supplémentaires. 

Comment décrirais-tu l’ambiance à Prép’art ?

Cool ! C’est petit, agréable, on connaît tout le monde. J’aurais aimé être un peu plus mélangé aux étudiants en art, ça aurait été sympa. Il manque une cafet’ pour ça !  

Comment qualifierais-tu le rapport avec les enseignants ?

Personnel. Parce qu’ils s’intéressent à nous, à nos projets. Nicolas (Lasnibat, enseignant en langage du cinéma et réalisation, ndlr) est un très bon prof, il sait toujours ce dont on a besoin. Le fait de pouvoir tutoyer les enseignants change tout aussi dans la relation, ce n’est pas un rapport élève à enseignant mais plus d’humain à humain. 

Est-ce que tu as un souvenir en particulier qui a marqué ton année ?

Alors ma rencontre avec Antoine (Dumont, enseignant en photographie, ndlr). Sans lui, je n’aurais jamais pensé ni osé passer des concours d’écoles de photo

Quels seraient tes conseils pour les futurs étudiants qui souhaitent intégrer Prép’art ?

D’abord, ne soyez pas flemmards ! Il faut vraiment rester rigoureux, tous les travaux que l’on fait nous servent à quelque chose, même si on ne s’en rend parfois compte que plus tard. Il faut se forcer même quand certains projets ne nous plaisent pas.

Comment as-tu vécu cette période des concours ? Surtout en cette période si particulière de confinement ?

Je ne l’ai pas hyper bien vécue, j’ai eu l’impression d’être un peu seule au début et surtout un grand stress de ne pas avoir d’école en fin d’année. 

Comment t’es-tu renseignée sur les écoles supérieures ?

Je connaissais la Cinéfabrique et j’ai découvert les autres à Prép’art.

Quelles écoles as-tu passées et quelle école as-tu choisie ?

Donc j’ai tenté la Cinéfabrique, la HEAD Genève et j’aurais tenté l’INSAS si je n’avais pas eu de concours. J’ai été admise en équivalence à Paris 3 en cinéma et esthétique et à l’école supérieure de photographie du Septantecinq.

Quels sont tes futurs désirs et projets ?

Finalement, je ferais 3 années au 75 et je pense rentrer à Paris. J’aimerai faire de la photo documentaire mais je ne suis pas fermée.  En ce moment, je fais un stage dans une boite de production (5 étoiles production) et je découvre notamment l’univers de la mode et c’est plutôt sympa !

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