Louna Faure, portrait : L’année de à Aix-en-Provence
Louna Faure, étudiante passée par Prép’art Aix-en-Provence, a été admise à l’ESBAN de Nîmes, l’EBABX de Bordeaux et l’ISDAT de Toulouse après son année 2021-2022.
Quelle est ta formation avant d’arriver à Prép’art ?
C’était le bac, mais avant ça, j’ai fait une année en Sociologie à Aix et une année en Humanités à Avignon. J’ai fait aussi une année de service civique, dans une recyclerie avant d’entrer à Prép’art. Avant d’entrer à Prép’art avais-tu déjà pour objectif d’entrer dans une école particulière ou des désirs de métier ? Non, je voulais juste expérimenter sur des choses liées à l’art. Et je voulais faire un métier dans l’art, mais je ne savais pas exactement lequel.
Comment as-tu décidé de suivre les enseignements à Prép’art ?
J’ai découvert Prép’art par Internet et ensuite j’ai été dans une enseigne Prép’art Sud et ça m’a vraiment plus. Puis, j’ai passé un entretien et je me suis dit : « C’est là qu’il faut que j’aille ».
Que t’a apporté ton passage à Prép’art ?
Ça m’a apporté beaucoup, de la confiance en moi, mais aussi de la peur, mais aussi de la combativité, de résister et de continuer.
Sur quoi porte ton dossier ?
Sur des questions autour de l’enfermement et comment s’en extraire.
Comment décrirais-tu l’ambiance à Prep’art ?
Je trouve qu’on est quand même soudés, les profs sont durs, mais « justement » durs, c’est ce qu’il faut pour qu’on se bouge les fesses.
Quel conseil donnerais-tu à un futur étudiant de Prép’art ?
C’est de s’écouter soi d’abord et les profs, mais vraiment beaucoup s’écouter soi et être rigoureux dans sa façon de voir l’école et sa pratique, aller jusqu’au bout.
Comment as-tu vécu la période des concours ?
C’était mitigé : au début mal, mais une fois qu’on passe les concours on est tellement fier de tout ce qu’on a réalisé avant, qu’on veut continuer, qu’on va y aller. C’était dur, mais satisfaisant personnellement.
Quelle a été ta méthode de travail ?
Alors moi, j’ai fait « avant » et « après » j’ai réfléchi. Comme le disait Florian : j’y réfléchissais nuit et jour et une fois que je suis dans la panade, je fais et après et bien je réfléchis.
Quelles relations as-tu développées avec les enseignants de Prép’art ?
En vrai, « fusionnel » comme on est tout le temps ensemble et que l’on travaille tout le temps ensemble, c’est vraiment fusionnel. Je n’ai jamais vécu ça auparavant, de telles relations. Les relations sont fortes et proches. Ils occupent une très grande place, ils sont le demi cerveau.
Comment t’es-tu renseigné sur les spécificités de chaque école supérieure d’art ?
En allant sur les sites et en parlant avec des étudiants lors des portes ouvertes des écoles d’art. Et sur les réseaux Instagram notamment.
Quelles écoles as-tu passées et lesquelles as-tu obtenues ?
J’ai passé Nîmes, Bordeaux, Toulouse et Marseille et Paris et j’ai eu Nîmes, Bordeaux, Toulouse.
As-tu des souvenirs particuliers, des situations qui ont marqué ton année à l’école ?
J’ai eu beaucoup la pression de venir à l’école. Je savais qu’il fallait que je fournisse un travail donc je pensais ne pas en être capable. C’était des moments de down et ensuite des moments de réussite : « on la fait ! on a créé ce qu’on a pensé ! » C’était vraiment bien.
Quels sont tes désirs et tes projets futurs ?
Je souhaite aller aux Beaux-Arts de Toulouse afin de me perfectionner dans ce que je connais et ce que je ne connais pas. Puis voir où tout cela me mène.